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HUITIÈME IMPLANTATION

Vos réflexions

D’arrière en avant : Gracie Crafts, Lara Zenhenko et Julianna Nanibush. Wiigwaas Jiimaanke (construction d’un canoë en écorce de bouleau) dans le cadre de l’événement Georgian Bay Biosphere Canoe Build, 2019. PHOTO PAR DELINA RICE. GRACIEUSETÉ DE LA GEORGIAN BAY BIOSPHERE RESERVE.

HUITIÈME IMPLANTATION

Réflexions : où allons-nous maintenant?

Notre voyage virtuel en canoë nous a emmenés dans de nombreux endroits où nous avons rencontré des peuples étonnants. Nous voyons maintenant que ces personnes font partie de l’environnement et qu’elles vivent ici depuis bien avant l’arrivée des villégiateurs et des propriétaires de chalets.

Ces peuples nous ont appris que nous devons tous et toutes respecter davantage la terre et que nous ne devons pas la modifier au point qu’elle ne puisse plus être le lieu extraordinaire qui a permis aux peuples autochtones d’y vivre pendant des milliers d’années.

La suite dépend de chacun d’entre nous.

« Même si toi et moi sommes dans des embarcations différentes, toi dans ton bateau et nous dans notre canoë, nous partageons le même Fleuve de la vie. Ce qui m’arrive t’arrivera aussi ».

– Oren Lyons, gardien de la foi de la Nation Onondaga qui est membre du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme pour les peuples autochtones.

Gayadowehs LuAnn Hill MacDonald video

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Gayadowehs LuAnn Hill-MacDonald de la bande Six Nations of the Grand River chante The Water Song de Bear Fox, Akwesasne, Territoire Mohawk et joue du hochet.

« Nous pourrions mettre un canoë à l’eau et aller n’importe où dans le monde. N’importe où dans le monde. »

Biidaanakwad Mark Douglas, Première Nation des Chippewas de Rama   

Biidaanakwad Mark Douglas, Chippewas of Rama First Nation
Brian Charles, Chippewas of Georgina Island First Nation

« Lorsque le plat à une cuillère a été proposé, les mots qui accompagnaient ce wampum étaient que toutes les ressources devaient être partagées, que nous devions tous avoir accès à ces ressources pour subvenir à nos besoins, à ceux de nos familles, de nos communautés et de nos nations ».

– Brian Charles, Première Nation des Chippewas de l’île Georgina

« Nous remercions la Création pour les rivières et les ruisseaux, pour le tonnerre qui apporte la pluie et pour les créatures qui vivent sur la terre, dans le ciel et dans l’eau. Nous sommes reconnaissants pour les grandes lumières qui nous entourent, notre frère aîné, le soleil et notre grand-mère la lune. Tous ces éléments sont reconnus dans un discours que nous appelons le Ohen:ton KarihwateCkwen (ce qui précède tous les autres sujets) et qui est notre salutation de l’Action de grâce ».

Karihwakeron Tim Thompson, Territoire mohawk de Wahta

Karihwakeron Tim Thompson, Wahta Mohawk Territory
Vince Chechock, Wasauksing First Nation

« Autochtones et allochtones, nous devons tous
reconnaître que tout est vivant, l’air que nous respirons, les rochers, les arbres. Tout se passe en harmonie. »

– Vince Chechock, Première Nation de Wasauksing

Goodbye

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Au revoir

FRANÇAIS

önenh

HURON-WENDAT

Miina kawapamitin

MICHIF

Onen kí wáhi

MOHAWK

Baamaampii

IL N’Y A PAS DE MOT POUR DIRE AU REVOIR EN ANISHINAABEMOWIN. 
NOTRE CROYANCE VEUT QUE NOUS NOUS REVOYIONS TOUJOURS, MÊME DANS L’AU-DELÀ.
C’EST POURQUOI NOUS DISONS SEULEMENT
« BAAMAAMPII »
(BAW-MAWM-PEA), CE QUI SIGNIFIE « À PLUS TARD ».

De gauche à droite : Taylor Judge, Dawson Bloor, Kyla Judge et Gracie Crafts. Wiigwaas Jiimaanke (construction d’un canoë en écorce de bouleau) dans le cadre de l’événement Georgian Bay Biosphere Canoe Build, 2019. PHOTO PAR DELINA RICE. GRACIEUSETÉ DE LA GEORGIAN BAY BIOSPHERE RESERVE.

« Nous sommes toujours là et nous continuons à survivre. On a tenté de nous diminuer, mais nous survivons et nous continuerons à survivre. »

– Myiingan B. Jeff Monague, Première Nation de Beausoleil

 Myiingan B. Jeff Monague, Beausoleil First Nation

Quel est votre rôle ?

Les Haudenosaunee disent que l’on peut voir les visages des générations à venir surgir de la terre. Avancez prudemment pour qu’elles puissent naître dans un monde qui n’est pas seulement beau, mais qui regorge de ce qui est nécessaire à la vie. Nous devons apprendre à marcher plus doucement sur la terre. De cette manière, nous réfléchissons tous à nos responsabilités envers les générations futures qui seront liées à ce lieu que nous appelons Misko-Aki, la « Terre rouge ».

Que ferez-vous pour contribuer à la protection et au respect de cet endroit et des peuples autochtones qui l’habitent? Faites-nous part de vos idées en utilisant le formulaire ci-dessous :

    Vos réflexions

    exhibit photo bark canoe

    Prêts à vivre l’expérience de Misko-Aki en personne?

    Visitez le Muskoka Discovery Centre pour visiter l’exposition Misko-Aki, de même que pour connaître nos nombreuses autres expositions, programmes et activités immersives.

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